Ce bon élixir, le CaféMet dans nos cœurs sa flamme noire ;Grâce à lui, fier de sa victoire,L’esprit subtil a triomphé.
Faux Lignon que chantait d’Urfé,Tu ne nous en fait plus accroire ;Ce bon élixir, le CaféMet dans nos cœurs sa flamme noire.
Ne faisons qu’un auto-da-féDes vieux mensonges de l’Histoire ;Et mêlons, sans peur du grimoire,A notre vieux sang réchauffé,Ce bon élixir, le Café.
— Théodore de Banville, Le Parnasse contemporain, 1876
Ce bon élixir, le CaféMet dans nos cœurs sa flamme noire ;Grâce à lui, fier de sa victoire,L’esprit subtil a triomphé.
Faux Lignon que chantait d’Urfé,Tu ne nous en fait plus accroire ;Ce bon élixir, le CaféMet dans nos cœurs sa flamme noire.
Ne faisons qu’un auto-da-féDes vieux mensonges de l’Histoire ;Et mêlons, sans peur du grimoire,A notre vieux sang réchauffé,Ce bon élixir, le Café.
— Théodore de Banville, Le Parnasse contemporain, 1876